C'est Materazzi qui passe en jugement après la coupe du monde.
Le président de la cour lui dit : "Monsieur Materazzi, j'ai deux nouvelles vous concernant : une bonne, une mauvaise.
La mauvaise nouvelle, c'est que suite aux insultes racistes que vous avez proférées à l'égard de Monsieur Zidane, vous êtes condamné à mort et serez fusillé demain."
Materazzi répond : "Ah bon, et c'est quoi la bonne nouvelle ?"
Le président : " C'est Trézéguet qui tire."